Le robot qui vivait sa vie
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 Haum est, en apparence, un Vietnamien d'une quinzaine d'années. Il est souple, robuste et rapide. Il court plus vite que n'importe qui et saute plus haut qu'un champion olympique.
Il parle et sourit comme tout le monde. Son aspect est exactement celui d'un être humain, mais ce n'est qu'un robot! Serge, Xolotl et Thibault ont une mission précise: ils doivent accompagner Haum, sans jamais le perdre de vue, et veiller à ce que le secret de son existence soit bien gardé. Mais, un matin, le robot leur fausse compagnie: il veut vivre sa vie...   Illustration d'Yvon Legall |
Le robot qui vivait... * * * *
ulrich marcotte le mar 19 novembre 02 03:36:59
Je suis tombé sur un livre de philippe ebly par hasard,un jour -voir "Le voyageur de l'au-delà"-.Après ce bouquin-là,j'ai très vite acheté tous les autres et je m'en suis gavé,ainsi que des "Histoires de robots" d'Isaac Asimov.Aussi,quand j'ai lu celui-ci,je me suis demandé si Philippe Ebly avait lu Asimov,car son robot obéissait aux trois lois de la robotique.En tout cas,c'est pour moi un très beau livre,meme si dans ce domaine-là je considère Asimov comme le maitre.
Un livre que j'ai pas lu souvent...
Jyëm le dim 04 septembre 05 11:11:19
Ce livre fait parti de ceux que j'ai pas vraiment aimé, il n'y avait pas d'histoire temporel, et pas vraiment beaucoup d'action. Pour moi le parcours de Haum ressemblait un peu à celui de Thibaut qui s'évade de la clinique, il doit se debrouiller seul, et les conquérants sont à sa recherche, mais la ressemblance s'arrête là. Un revenant du moyen âge c'est toujours du domaine de l'impossible, mais un robot... même si on ne cherche plus à le faire à l'image de l'homme, et qu'on a du mal même aujourd'hui à imaginer un robot ressemblant si parfaitement à l'humain, on est un peu comme pour l'homme qui marche sur la lune, çà ne fait plus rêver. Bernard est surprenant, il garde le secret pour lui, je me demande si ce serait possible de nos jours, tant une histoire extraordinaire est devenue sensationnelle et "à partager". Mais le fond de l'histoire c'est la gentillesse de Haum, son côté humain sans défaut, son acte de bravoure pour sauver la petite fille, et çà, c'est une bonne leçon de vie qui n'a pas d'âge