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Richard Martens

Richard Martens est né en 1948. Il a illustré une dizaine de couvertures de romans de Philippe Ebly dans les années 80 dans la Bibliothèque Verte. Ces couvertures ont été réalisées à l'aérographe et au pinceau, à l'acrylique, au format demi-raisin (32,5 cm x 50 cm).

Il a également réalisé, chez Opta des illustrations en noir et blanc (carte à gratter), et des couvertures en couleurs (aquarelle, crayons de couleurs ou acrylique) pour des revues de SF comme Fiction, Galaxie, etc. et des romans, dont Le cycle de Terremer au CLA (Club du Livre d'Anticipation).

Dans l'année 1974-1975, pendant un an, il a réalisé des couvertures pour les éditions Robert Laffont.

Il a illustré des livres-jeux pour Le Livre de Poche, et un roman de SF chez Denoël.

Pour Gallimard, il a illustré quelques titres de Carré noir et de nombreux titres en Série noire, et en Folio, dont les deux premier romans policiers de Daniel Pennac : Au bonheur des ogres et La fée carabine.

Il a aussi fait les couleurs et le lettrage d'une BD, chez Bagherra, adaptant Indiana Jones.

Pour Métal hurlant, il a réalisé quelques illustrations en couleurs ou en noir et blanc et une courte BD, histoire basée sur Cthulhu pour "Métal Hurlant spécial Lovecraft", une BD courte pour un "spécial humour", et des peintures pour un "spécial Conan", et un calendrier.

Pendant environ dix-sept ans, il a beaucoup œuvré dans la presse, en réalisant d'abord des dessins intérieurs, puis des couvertures pour Économia, Le Nouvel économiste, Le Point, L'Expansion, Le Nouvel observateur...

Le Monde dimanche lui a confié la réalisation d'un certain nombre d'images en noir et blanc, souvent réalisées en carte à gratter.

Il a aussi animé Babar pendant un mois au Studio Ellipse, et a participé à la création de jeux vidéo, pendant environ quinze mois, chez Loriciel SA : (West Phaser et Harricana).

Toujours chez Hachette, sous la direction artistique de Christiane Sicard, il a peint, en alternance avec Jean-Jacques Vincent, les couvertures de la collection "Spectres", puis de la collection "John Sinclair chasseur de spectres", peintures réalisée à l'aérographe et au pinceau, à l'acrylique.

Enfin, il transmet son savoir, en enseignant depuis vingt-cinq ans...

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